Actualité médicale


Le Maroc veut accueillir les médecins étrangers pour palier la pénurie de soignants

17/01/2022

Les hôpitaux du Maroc font face à une «pénurie aiguë» de 32 000 médecins et 65 000 infirmières alors que seulement 1 200 nouveaux médecinssont diplômés chaque année. Affirmé ce mercredi par le ministre de la Santé et de la protection sociale, Khalid Ait Taleb.

Pour palier ce manque et lutter contre les effets de la pandémie du Covid-19, le Maroc envisage d’augmenter les salaires des travailleurs de la santé et de mettre en place des incitations fiscales pour attirer les investisseurs et les médecins étrangers et encourager les médecins marocains à rester dans le secteur public.

Le Maroc a déjà permis aux médecins titulaires d'un permis d'exercer à l'étranger à travailler au Maroc et supprimé les obstacles juridiques à l'investissement afin d'encourager les entreprises étrangères à participer au système de santé marocain, a-t-il assuré. Quant aux «déserts médicaux», des incitations fiscales ou des aides publiques pourraient être mises en place pour inciter les travailleurs de la santé à s’y établir.

Source : Yabiladi

Lire l'article

Covid-19 : Le variant OMICRON fait son premier mort au Maroc.

07/01/2022

Le premier décès dû à la contamination au variant Omicron vient d’être déclaré au Maroc, une information annoncée par le ministère de la Santé dans son bilan bimensuel de la situation épidémiologique du Covid-19 au Maroc.

Il s’agit d’une femme âgée de 67 ans, qui avait été admise à la fin du mois de décembre dernier dans un service de réanimation du Royaume.

Khalid Aït Taleb, le ministre de la Santé, avait évoqué ce cas lors d’une intervention le 28 décembre dernier sur le plateau du Journal télévisé d’Al Aoula. Le ministre avait alors expliqué que cette personne avait pris du retard à recevoir une troisième dose du vaccin anti-Covid-1

Ce jour-là, Khalid Aït Taleb avait aussi déclaré que le Maroc répertoriait 76 cas confirmés de contamination au variant Omicron, et n’est pas tout, il avait également fait état de 246 cas suspects.

Avec la variant Omicron qui devient de plus en plus dominant au Maroc, le nombre de contaminations ne cesse d’augmenter. Dans son rapport bimensuel toujours, le ministère de la Santé note une augmentation de 200% des cas en comparaison avec la semaine précédente.

Source : le360

Lire l'article

Covid-19 : Premier cas du variant Omicron confirmé au Maroc.

16/12/2021

Ce qu’on redoutait est finalement arrivé. Le variant Omicron débarque au Maroc. Le premier cas a été détecté ce mercredi 15 décembre 2021 chez une Marocaine résidente à Casablanca. L’information a été révélée par le ministère de la Santé dans un communiqué publié le même jour.

La patiente a été placée sous surveillance médicale dans un établissement hospitalier de la capitale économique, indique le ministère, qui précise que sa situation reste stable et n’est pas inquiétante pour le moment.

Source : Maroc Hebdo

Lire l'article

1 personne sur 5 au Maroc est diabétique ou va le devenir dans les mois à venir

15/11/2021

Selon les estimations de la Ligue Marocaine de Lutte contre le diabète communiquées par son président le Pr. Jamal Belkhadir, 1 personne sur 5 au Maroc est diabétique ou va le devenir dans les mois à venir. 

selon le Pr Jamal Belkhadir, Président de la Ligue Marocaine de Lutte contre le Diabète (LMLCD), les chiffres du diabète au Maroc (au-delà de 18 ans) sont en augmentation régulière. Ils sont passés de 6,6% (1.235.000 personnes) en 2000 à 10,6% (2.353.000 personnes) en 2017-2018, selon les enquêtes nationales du ministère de la Santé. En outre, plus de 40% des personnes atteintes de diabète ignorent leur maladie à cause de son caractère silencieux. Un autre élément inquiétant est celui de la prévalence élevée du pré-diabète qui est de 10,4% (2.309.000 personnes).

D’autre part, les conséquences en terme de morbi-mortalité et de coûts directs de santé et indirects par la diminution de productivité pour l’économie du Maroc et pour toute la société sont très élevés. Au niveau des caisses d’assurance maladie, le rapport global annuel de 2018 montre que 3,2 % de la population qui a recourt aux soins liés aux Affections de Longue Durée (ALD) consomme 51,5% des dépenses totales dont 73,1% des dépenses sont destinés aux quatre maladies suivantes : diabète (10,4%), hypertension artérielle (10,7%), insuffisance rénale chronique (27,4%) et cancer (23,4%).

Dans quelles situations devrait-on se faire dépister ?

Le dépistage du diabète et du pré-diabète doit être pratiqué chaque fois que des symptômes cliniques sont notés (soif, fatigue, urine fréquente…). Il faut y penser notamment chez des personnes en excès de poids, ayant une hérédité diabétique et/ou une hypertension artérielle ou une hyperlipidémie. La recherche du diabète chez une femme enceinte ne doit pas être retardée sous peine de conséquences néfastes pour le bébé et la maman.

Source : 2M

Lire l'article



Nos partenaires