Actualité médicale


Deux nouveaux centres de psychiatrie et de diagnostic

06/06/2022

L’hôpital Mohammed V de Safi disposera prochainement d’un nouveau centre psychiatrique. La construction coûtera 11,5 MDH et sera achevée en 14 mois. 

L’Agence Régionale d’Exécution du Projet Marrakech-Safi (AREP), maître d’ouvrage de ce projet, a confié les travaux à la société Rena SARL. 

Un centre de diagnostic et de consultation externe est prévu au sein du même hôpital. Sa construction, qui durera également 14 mois, a été confiée à la société Immocob Travaux pour un montant de 12,5 millions de dirhams.

Source : medias24

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Les prescriptions des laboratoires marocains pour une industrie pharmaceutique forte

06/06/2022

Les laboratoires pharmaceutiques marocains veulent faire de leur secteur une industrie souveraine. 

L’industrie pharmaceutique marocaine était au cœur d’un débat très animé, vendredi, lors de la deuxième d’une série de 5 Matinales de l’actuel Cycle de conférences du Groupe «Le Matin» traitant de la souveraineté. Cette matinale, organisée sur le thème «Souveraineté sanitaire : Comment développer une industrie pharmaceutique nationale forte», a permis de mettre la lumière sur les difficultés auxquelles font face les laboratoires marocains.

Dans son discours d’ouverture de la Matinale, le président du Groupe «Le Matin» a rappelé qu’«il n’y a pas eu de solidarité sanitaire lors de la pandémie. Et les pays les plus riches, ou ceux qui avaient des réserves affichaient des taux de vaccination élevés par rapport aux autres». Cette situation a fait de la souveraineté pharmaceutique une priorité dans beaucoup de pays. Qu’en est-il au Maroc ?

De l’avis de l’ensemble des intervenants, le Maroc subit, depuis 2 ans, une situation difficile à cause de la pandémie de la Covid-19 et de la crise Ukraine-Russie. «L’industrie pharmaceutique marocaine a subi deux lourdes années et continue avec la crise Ukraine-Russie. En plus de la hausse des prix, des pénuries sont carrément observées sur certains produits et matières premières», partage Lamia Tazi, PDG de Sothema et vice-présidente de la Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques (FMIIP).

En plus de ces difficultés, l’industrie pharmaceutique marocaine n’a pas une protection suffisante», souligne Hakima Himmich, membre de la Commission spéciale sur le nouveau modèle de développement (NMD).

En effet, malgré la hausse des prix des intrants, les laboratoires marocains vendent à des prix réglementés et sont même «déficitaires sur certains produits à cause de cette flambée des prix des intrants», indique Mia Lahlou Filali, PDG de Pharma 5 et vice-présidente de la FMIIP. Pourtant, nos laboratoires ont du mal à faire face aux produits importés alors que «les médicaments qui sont très chers au Maroc sont ceux importés», révèle Lahlou Filali.

Source : lematin

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Appels au remboursement des traitements d’infertilité au Maroc

01/06/2022

Selon Aziza Ghalam, «l’heure est venue pour que les Marocains souffrant d’infertilité et de stérilité soient traités sur un pied d’égalité avec leurs concitoyens.

Ils devraient ainsi bénéficier, à leur tour, de la généralisation de l’assurance maladie. Pour l’heure, les Marocains souffrant d’infertilité et de stérilité ne sont remboursés que sur quelques médicaments». Pour Ghalem, «même ce remboursement n’est pas prévu dans toutes les assurances maladie et mutuelles du Royaume». Quant aux autres traitements médicaux utilisés par ces Marocains rêvant d’enfants, ils brillent par leur absence sur la liste des médicaments remboursés.

Dans ce sens, la présidente de l’association assure que les bénéficiaires du Régime d’assistance médicale ne profitent d’aucun traitement médical en lien avec l’infertilité ou la stérilité. Pourtant, les détenteurs de la carte Ramed en ont le plus besoin, compte tenu de leur incapacité à demander des remboursements pour les traitements allant de 30.000 à 70.000 dirhams pour ceux qui utilisent le plasma riche en plaquettes (PRP).

Source : le360.ma

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CHU Ibn Rochd à Casablanca organise un séminaire d’accréditation dans la prise en charge pré-hospitalière

01/06/2022

Le Service des Urgences du CHU Ibn Rochd organise un séminaire d’accréditation et de certification au centre de simulation médicale de la FMPC.

« Assurée par des experts américains et marocains, cette formation s’inscrit dans le cadre de la l’élaboration d’outils pratiques à la prise en charge optimale des traumatisés graves », souligne un communiqué des organisateurs, soulignant que la formation est destinée aux professionnels de santé investis dans la médecine d’urgence et amenés à maîtriser les concepts et les principes de la prise en charge pré-hospitalière et hospitalière des traumatisés graves.

Sachant que le Maroc « enregistre effectivement des cas élevés en matière de mortalité due à l’accidentologie routière, malgré les efforts consentis en matière de mesures préventives dans ce sens. Il est à rappeler dans ce sens que plus des deux tiers de ces décès surviennent sur les lieux de l’accident et précocement à la phase hospitalière », indique le même communiqué.

Source : 2m

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