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Echec de l'essai d'un vaccin contre le VIH en Afrique sub-saharienn
01/09/2021

Le vaste essai clinique d'un vaccin contre le VIH, le virus qui cause le sida, mené par Johnson & Johnson dans cinq pays d'Afrique sub-saharienne, a été stoppé faute de résultats concluants, a annoncé mardi l'entreprise pharmaceutique américaine.

L'essai, nommé Imbokodo et démarré en 2017, incluait environ 2.600 jeunes femmes entre 18 et 35 ans au Malawi, Mozambique, Zambie, Afrique du Sud et Zimbabwe. Les femmes et jeunes filles représentaient 63% des nouvelles infections en 2020 dans cette région.

Certaines participantes ont reçu quatre injections du vaccin sur une période d'un an, et d'autres un placebo. Au bout de deux ans après la première injection, 51 des 1.079 participantes ayant reçu le vaccin avaient contracté le VIH, contre 63 des 1.109 participantes ayant reçu un placebo.

Même si le vaccin a été bien toléré, son efficacité n'était donc que de 25%. "Au vu de ces résultats, l'essai Imbokodo ne continuera pas", a déclaré J&J dans un communiqué.

"Si nous sommes déçus que le vaccin candidat n'ait pas fourni un niveau suffisant de protection contre l'infection au VIH (...), cette étude nous donne des résultats scientifiques importants pour la poursuite de la quête d'un vaccin contre le VIH", a déclaré Paul Stoffels, directeur scientifique de Johnson and Johnson, cité dans le communiqué.

Le vaccin de J&J utilise la technologie du "vecteur viral", la même que celle employée pour son vaccin contre le Covid-19. Un type de virus courant, appelé adénovirus, est modifié pour être rendu inoffensif et transporter des informations génétiques permettant à l'organisme de combattre le virus visé.

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Suspension de nouveaux lots du vaccin Moderna à cause d'une anomalie
31/08/2021


La préfecture d'Okinawa, située au sud du Japon, a décidé dimanche de "suspendre l'utilisation des vaccins Moderna car des substances étrangères ont été repérées dans certains" lots, indique-t-on dans un communiqué.

Cette décision intervient au lendemain de l'annonce par le ministère japonais de la Santé du décès, en août, de deux hommes, âgés de 30 et 38 ans, qui avaient reçu une deuxième dose de Moderna provenant de l'un des trois lots suspendus le 26 août par le gouvernement.

Le ministère a annoncé l'ouverture d'une enquête pour déterminer la cause de leur décès, précisant que "le lien de cause à effet avec la vaccination reste à ce jour inconnue".

"Pour l'instant, nous n'avons aucune preuve que ces décès ont été causés par le vaccin Moderna COVID-19, et il est important de mener une enquête pour déterminer s'il y a un lien", ont déclaré samedi dans un communiqué commun Moderna et Takeda, qui importe et distribue dans l'archipel nippon.

La nature des particules découvertes dans les flacons, qui ont été fabriqués par un sous-traitant de Moderna en Europe, n'est pas encore connue.

"Les fioles ont été envoyées à un laboratoire pour analyse et les premières conclusions seront connues en début de semaine prochaine", ont déclaré Moderna et Takeda.

La compagnie américaine suppose que le problème provient d'une ligne de production de son sous-traitant en Espagne, Rovi, qui produit ses vaccins contre le Covid-19 pour les marchés hors Etats-Unis.

Rovi a déclaré le 26 août enquêter sur la cause de la contamination de ces lots, distribués uniquement au Japon.

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