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Levothyrox, Contraceptifs, Doliprane… De plus en plus introuvables en pharmacie
28/11/2022

La rupture des stocks de médicaments est un phénomène mondial qui n’a pas épargné le Maroc. L’absence d’alternatives aux produits manquants et la contrainte de recourir à des produits plus chers inquiètent les patients. Le ministère de la santé planche sur un plan national pour la sécurisation d’un stock stratégique.

Le marché du médicament est perturbé par l’absence, en officine et en milieu hospitalier, de plusieurs produits. Les professionnels du secteur tout comme le ministère de la Santé préfèrent parler de rupture et non pas de pénurie. «C’est une rupture temporaire de médicaments et non pas une pénurie, puisqu’il y a eu un réapprovisionnement par la suite, mais il faut quand même souligner que cela a induit des arrêts de traitement pour certaines maladies, car les produits manquants n’ont pas d’alternatives thérapeutiques», explique une pharmacienne à Casablanca.
En effet, durant ces dernières semaines, ont manqué dans les officines Lévothyrox, certains produits cardiovasculaires, les contraceptifs hormonaux comme Minidril ou Microgynon, des produits traitant les rhinites et les pharyngites et le vaccin anti-grippe. La liste est plus longue, selon les pharmaciens d’officine, mais «il s’agit là de produits, comme Levothyrox ou encore les contraceptifs, pris régulièrement par les patients et qu’on ne peut pas substituer», et ceci pour deux raisons principales: l’absence de produits similaires pour certaines spécialités et le prix plus élevé en cas de prise d’une autre molécule. Pour les contraceptifs de première génération précités, leurs prix sont abordables, puisqu’ils varient entre 8 et 9,20 DH. Et les substituer par d’autres pilules, notamment de deuxième génération, situerait le prix entre 25 et 40 DH. Et la prise de contraceptifs de troisième génération est quasiment inaccessible, car le prix de vente se situe entre 75 et 140DH. Pour d’autres médicaments, l’inexistence de produits similaires conduit à un arrêt du traitement et donc des complications de l’état de santé du patient. Ces ruptures temporaires sont également dues au comportement de certains patients qui n’hésitent pas à acheter, dès que les officines sont approvisionnées, plusieurs boîtes pour avoir un stock de sécurité en prévision d’autres difficultés d’approvisionnement.

 

Source : La Vie Eco

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Vers une révision de la tarification de référence
24/11/2022

Les ressources humaines sont la pierre angulaire de toute réforme dans le secteur de la Santé, a indiqué le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb, lundi, lors de la séance hebdomadaire des questions orales à la Chambre des Représentants. 

Le ministre a souligné que le problème majeur dans le système de santé est essentiellement lié à la gouvernance, ajoutant que nous ne devons pas céder au pessimisme en disant qu’aucun objectif n’a été accompli, d’autant plus qu’il y a une tendance vers l’instauration d’un hôpital universitaire dans chaque région. Le gouvernement, selon le ministre, travaille dans cette voie sur un programme régional de santé, chaque région agira, ainsi, selon ses ressources et ses besoins. 

 De plus, le non-respect de la tarification nationale de l’AMO par les cliniques privées et le non-affichage des tarifs de référence sont dus, selon Khalid Aït Taleb, à la non-actualisation de cette tarification qui ne convient pas aux cliniques privées. 

Dans sa réponse à la question orale d’un député portant sur la révision de la tarification de référence dans les cliniques privées, le ministre de la Santé a affirmé que cette tarification n’a subi aucun changement depuis 1998, ajoutant, à cet égard, « nous nous acheminons vers la voie d’une nouvelle réforme au niveau de cette tarification et nous avons besoin du secteur privé pour l’aboutissement du chantier de la protection sociale ». 

 

Source : L’Opinion

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