Actualité médicale


Marrakech : 2ème Congrès annuel de l’Oncologie médicale

17/11/2022

La deuxième édition du Congrès annuel de l’Association Marocaine d’Oncologie Médicale du Secteur Libéral (OMM), aura lieu les 18 et 19 novembre à Marrakech, sous le thème «Médecine de précision en oncologie médicale».

Cet évènement mettra l’accent sur les dernières innovations en cancérologie du point de vue du pathologiste, de l’oncologue médicale, du radiothérapeute et du chirurgien, avec l’intégration de ces progrès diagnostiques et thérapeutiques dans la pratique quotidienne : séquençage génomique, inhibiteurs des CDK 4/6, immunothérapie, anti-PARP…, expliquent les organisateurs dans un communiqué.

«Après le succès retentissant qu’a connu la première édition du congrès, il est de notre devoir d’innover, d’aller de l’avant et de continuer à nous améliorer », estiment les organisateurs, faisant savoir que cette rencontre annuelle constitue une opportunité d’échange de connaissances et d’expériences entre les experts nationaux et internationaux. Elle offrira également l’opportunité de discuter des dernières recommandations, avec un focus détaillé sur les développements technologiques en la matière.

Au menu de ce Congrès figurent nombre de conférences, d’ateliers de formation destinés aux médecins, aux étudiants et pour la première fois aux patients également, outre une session dédiée à l’échange entre professionnels et patients autour du parcours de soins et de l’annonce diagnostique.

Les débats lors de ce Conclave porteront sur moult thématiques en rapport avec «cancer du sein métastatique RH+ HER2-: 1ère ligne et au-delà», «cancer du poumon et immunothérapie», «cancer de la prostate», «cancer du sein localisé/ adaptation thérapeutique», «cancer du sein métastatique/ optimisation thérapeutique » et «controverses en oncologie : cancer du rectum/TNT : Traitement Néoadjuvant Total» et «le patient au coeur du parcours de soin».

A noter que l’OMM s’intègre dans l’initiative gouvernementale du «Plan cancer» visant à améliorer la prise en charge et l’accès aux soins du patient au Maroc.

 

Source : L'Opinion
 

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PLF2023: les professionnels de la Santé prévoient un sit-in devant le parlement mardi 15 novembre

15/11/2022

Les professionnels de la Santé toujours vent debout contre certaines dispositions du Projet de Loi de Finances 2023. Les pharmaciens, les dentistes du secteur libéral, les ophtalmologues et les kinésithérapeutes prévoient un sit-in devant le Parlement le 15 novembre courant, souligne-t-on dans un communiqué.

Depuis quelques semaines, les fédérations les plus représentatives du secteur de la Santé dénoncent la hausse de l’Impôt sur les sociétés, stipulée par le PLF 2023 ainsi que le prélèvement à la source, qui, selon la même source, porte atteinte à la stabilité économique des métiers de la santé.

Et de poursuivre que « ces dispositions surviennent dans un contexte difficile pour les établissement de la santé ».

A rappeler que la Chambre des Représentants a adopté à la majorité, vendredi 11 novembre, le projet de loi de Finances (PLF)  au titre de l'année budgétaire 2023, prévoyant ainsi une hausse de 19,5% du budget du Ministère de la Santé et de la protection sociale par rapport à l'année précédente.

  • PLF-2023 : 46 amendements acceptés pour la première partie

 

Source : 2M

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Les médecins du privé s’opposent à leur tour aux dispositions du PLF 2023

14/11/2022

Le Syndicat national des médecins du secteur libéral, à travers son bureau national, s’est insurgé contre les différentes mesures du PLF 2023, les jugeant inéquitables. 

Après les avocats, les notaires, etc…, une autre profession libérale monte au créneau contre le PLF 2023. Les médecins du privé, qui offrent au Maroc 70% des services de santé, se disent victime d’un système fiscal inéquitable et injuste. 

Dans son communiqué, le principal syndicat de la profession rappelle que le médecin du privé, à revenu égal, est imposé à hauteur de 38% contre 20% pour les entreprises commerciales. 

Ceci, en plus de la taxe d’habitation, la taxe professionnelle et, depuis peu, les cotisations sociales de 991 DH/mois, soit le montant de cotisation le plus élevé dans notre pays.  
A cela s’ajoute la proposition du PLF 2023 d’appliquer une retenue à la source de 20% sur les honoraires des médecins. 

Le syndicat demande une refonte globale du système de taxation des médecins du privé, en leur permettant de bénéficier du statut de SARL à associé unique, ainsi qu’une refonte du système de la tarification nationale de référence, dans un contexte où quelque 600 médecins quittent le Royaume chaque année.

 

Source : La quotidienne

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Royaume-Uni : Du sang créé en laboratoire transfusé à des volontaires, une première mondiale

10/11/2022

Des scientifiques anglais viennent de lancer un essai clinique révolutionnaire dans lequel les participants ont été transfusés, pour la première fois dans le monde, avec des globules rouges cultivés en laboratoire.

Dans un centre de recherche clinique à Cambridge, au Royaume-Uni, deux volontaires ont reçu une transfusion qui ne contient pas les globules rouges d'un donneur mais des hématies cultivées en laboratoire, rapportent des médias, faisant savoir que cette opération a été réalisée dans le cadre de l'essai clinique Restore qui cherche à vérifier l'innocuité et la durée de vie des globules rouges synthétiques.

Il s'agit d'un premier pas vers un objectif plus ambitieux, celui de transfuser du sang créé en laboratoire pour soigner les personnes atteintes de maladies sanguines ou porteuses d'un groupe sanguin rare, deux cas de figure pour lesquels il est toujours difficile de trouver une poche de sang compatible, selon la même source.

"Nous espérons que nos globules rouges cultivés en laboratoire vivront plus longtemps que ceux des donneurs de sang. Si notre essai, le premier du genre au monde, est un succès, cela signifiera que les patients qui ont besoin de transfusions de sang régulières en auront besoin moins souvent dans le futur, transformant ainsi leur traitement", explique le principal investigateur de l'essai Restore, le Professeur Cedric Ghevaert, de l'université de Cambridge.

 

Source : 2M

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