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News
Lancement d'une étude sur la Covid-19 et son impact sur le financement et l’accès aux soins d’oncologie
08/02/2022
Une étude de recherche qui s'intéresse à l’impact de la Covid-19 sur le financement et l’accès aux soins d’oncologie au Maroc vient d'être lancée.
L’Université Mohammed VI des Sciences de la Santé (UM6SS) et l’Institut de Recherche sur le Cancer (IRC) ont annoncé le lancement d'une étude de recherche qui porte sur «l’impact de la Covid-19 sur le financement et l’accès aux soins d’oncologie au Maroc». L'initiative, dont la cérémonie de lancement s'est tenue hier vendredi, sera menée en collaboration avec la Société Marocaine de l’Economie des Produits de Santé (SMEPS).
Il s’agit d’un projet de recherche qui vise globalement à encourager la recherche autour de plusieurs thématiques liées au cancer et à permettre aux institutions de renforcer leurs capacités en matière de recherche, d'enseignement et de diffusion. A cet effet, il planchera sur l’impact de la pandémie sur la cancérologie et devra aussi explorer les approches possibles pour réduire, dans le futur, les effets négatifs de crises sanitaires similaires sur les patients au Maroc.
Le président de l’UM6SS, Chakib Nejjari, a souligné à cette occasion que «le projet s’inscrit parfaitement dans les prérogatives de l’UM6SS, à savoir offrir une plateforme d’études et de recherches, puisqu’il est indéniable que la pandémie de la Covid-19 a été un véritable ralentisseur de l’accès aux soins et de l’administration des traitements en cancérologie, mais également dans d’autres aires thérapeutiques».
«Cette étude, vise également à aborder le financement de l’introduction des technologies nouvelles de santé, notamment dans le domaine de la cancérologie», a indiqué pour sa part le professeur Samir Ahid, doyen de la Faculté de Pharmacie de l’UM6SS, également président de la SMEPS. «Ce projet permettra aussi d’explorer des approches innovantes de tarification, de remboursement et de passation de marchés afin de déterminer leur effet sur la réduction du fardeau des coûts», a-t-il ajouté.
Source:le matin

L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE MAROCAINE PLAIDE POUR LA SOUVERAINETÉ SANITAIRE ET LA PRIORITÉ NATIONALE
02/02/2022
La Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques (FMIIP) a tenu mercredi, en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), une conférence «Industrie Pharmaceutique : Plus de valeur ajoutée pour plus de souveraineté sanitaire nationale et continentale».
Organisée en format hybride et retransmise en direct, avec plus de 120 participants, la conférence s’est tenue en présence du président de la FMIIP, Mohamed El Bouhmadi, de la vice-présidente générale, Lamia Tazi et de la vice-présidente, Mia Lahlou Filali.
Les industriels du secteur regroupés au sein de la FMIIP ont mis en exergue la capacité d’adaptation et l’agilité du tissu industriel marocain. M. El Bouhmadi a rappelé que l’industrie pharmaceutique au Maroc représente la deuxième activité chimique du pays et la deuxième place sur le continent africain, avec 55 000 emplois.
Il a également présenté trois chantiers prioritaires de la Fédération, à savoir l’approvisionnement continu du pays pour la souveraineté sanitaire, contribuer à la généralisation de la couverture maladie universelle et assurer le «Made in Maroc» comme gage de qualité, de compétitivité et de durabilité.
«L’autonomie sanitaire passe inévitablement par le renforcement de la fabrication locale», a ajouté Mme Tazi, assurant que l’ambition est «de doubler le chiffre d’affaires et de passer de 16 milliards à 35 milliards de dirhams à horizon 2026» pour œuvrer dans le sens de la souveraineté sanitaire.
Pour y parvenir, les industriels ont plaidé pour la simplification des règles liées à l’octroi des autorisations de mise sur le marché, conformément aux recommandations du NMD, et de prioriser les autorisations et les appels d’offre publics aux médicaments fabriqués au Maroc.
Source: Yabiladi.com
